lundi 25 juin 2007

Week-end du Bourget





J’ai été invité à un super week-end organisé par idCAD. Nous avons commencé le week-end au Domaine de Jonville (photo à l’appui) à 15 minutes de voitures de la gare de Melun (quelque part au sud de Paris).

Nous avons commencé par une activité d’arbre en arbre vraiment très intéressante ou j’ai pu m’épuisé à essayer le parcours « sportif » croyant que j’appartenais à cette catégorie. Malheureusement, je n’ai pas terminer le parcours tellement j’étais épuisé. Il faudra que je me remette plus en forme, pour ça il faudrait que je prenne moins de vins… je ferais mieux d’oublier ça.

En revenant nous avons bénéficié d’un bar open, d’un excellent souper et d’une fin de soirée poker et divertissements. J’ai même sorti le grand boss Étienne de la partie ce qui est très bon pour mon ego. Je n’ai pas gagner mais j’ai récupéré ma mise ce qui devrait m’éviter le trophée de la honte.

Durant l’apéritif j’ai pu rencontrer des collègues que je ne vois pas souvent et apprendre à les connaître. J’en ai profiter pour prendre Carl en photo (à droite sur la photo) dans le but de mettre un visage sur ce nom qui revient souvent quand on me demandait : « Comment ça que tu es toujours à Montréal ? »




Après avoir dégrisé je suis allé au salon du bourget où j’ai pu voir de très près de nombreux avions. Je me suis fais prendre en photo avec un moteur de Boeing 747. J’ai alors eu une petite pensé pour Mathieu Goulet auquel je souhaite une Boeing journée.




J’ai vu voler le nouvel airbus A380 et il semblait stationnaire dans les airs, très étonnant pour un avion qui a 2 étages de passagers. J’ai été très impressionné par le spectacle aérien où les avions militaires faisaient des choses qui semble pratiquement impossible.

Bon ben il faut aller travailler !


Salut chères nombreux lecteur(e)s ! Comme tous les derniers lundis, il faut aller travailler. C’est déjà plutôt stressant de commencer un nouvel emploi, ce l’est encore plus dans un pays dont je ne connais absolument rien. Pour avoir un peu plus de confiance j’ai utilisé ma cravate (avec un zipper voir chez sears).

Je dois commencer chez UGS dans le sud ouest de Paris près de Versaille et la ville se nomme Jouy-en-Josas. Pour se rendre c’est simple il suffit de prendre le métro à « Guy Môquet » sortir à la station des invalides, prendre le RER jusqu'à la station de Chaville-Vélizy et finalement prendre le bus CVJ qui supposément est un peu isolé des autres arrêts de bus. L’autobus doit passer un village, puis une forêt et ensuite un autre village pour finalement traverser une autoroute et ensuite on peut descendre et chercher les bureaux de UGS. Facile direz-vous !

Nous avons alors appris que les RER n’arrêtent pas à toutes les stations, ce fait sembla des plus évident lorsque le RER passa notre arrêt. Cela nous a permis d’explorer Chaville à pied pour revenir à notre gare, suivre le chemin de fer était un plan béton de plus que les rails sont en béton.

Heureusement les gens chez UGS sont bien sympathiques. Nous avons accepté notre nouveau titre de Caribou qui est le nom que les français donnent aux Québécois en l’honneur du gag de "couillu le caribou dans le grand nord" d’un humoriste français qui utilise l’accent québécois dans ses gags.

Où y sont les volets rouges


Je suis arrivé à Paris à l'aéroport d'Orly vers les 6:20 du matin dimanche le 17 juin. J'ai voyagé pour la promière fois en avion dans le but de me rendre quelque part (sauté en parachute dans le passé). J'ai bénificier des services de la compagnie CorseAir qui est une des compagnies qui possèdent une mauvaise réputation. Malgré tout on m'a servi du vin dans l'avion.

J’ai voyage avec mon collègue et ami Olivier qui a amené avec lui sa copine Caroline (photo à l'appui et mort de fatigue). Nous avons pris le même taxi pour se rendre à notre appartement hôtel, donc trois personnes et plus de 120 kilos de bagage. Nos indications étaient un peu étrange : 5 passage legendre « les volets rouges » et appuyé sur « enfin chez soit à Paris ». Après être sorti du périphérique (autoroute en français chiant) je cherchais les fenêtres avec les volets rouges, je m’imaginais un joli bloc avec des volets rouges et des beaux petits rideaux blancs qui serait balancés par le vent frais de l’Europe. Après tout pour 100 euros la nuit ça doit être un peu beau. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que des volets rouge en France ce n’est pas la même chose qu’au Québec (photo à l’appui).
Je découvre alors un appartement de 40 m2 où la poussière et la manque de propreté vie en parfaite symbiose. Pour oublier tout ça, j’ai décider d’aller faire quelques achats afin de rassasier mon estomac qui criait « putain de merde j’ai faim ». Malgré que le dimanche il n’y a pas grand-chose d’ouvert j’ai découvert une chose surprenante. J’entre dans un petit commerce nommé Nicolas, des bouteilles de vins de qualité entre 3 et 7 euros. Vous pouvez sûrement deviner la suite qui m’a permis de bien dormir une fois la nuit venu.