La neige à neigé plus que prévu

Bonjour tout le monde. Ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas écris parce que ben ça me tentais pas tellement, un genre de manque de motivation. On n’a eu notre première bordée de neige il y a deux jours, youppi. La météo nous avais prévu un 5 à 10 centimètres suivi d’une journée de 8 degré pour faire fondre le tout, finalement après recomptage il en est tombé 25 centimètres et nous n’avons pas franchit le cap du -3 degré.

Le service de déneigement de Montréal n’était vraiment pas près pour ça. Pourtant 25 cm ce n’est pas tellement exceptionnel. J’ai pu lire plusieurs histoires de gens qui ont pris environ 4 heures pour rejoindre la rive-sud… vive le 450. Je me demande comment ça se fait que dans un coin du monde où on est au courant qu’il neige abondamment chaque hiver depuis les 400 dernières années, nous soyons toujours aussi mauvais à Montréal pour déneiger les rues?

Des idées ?

NexxTech dépassé

Le spécialiste de la lingerie Triumph International a dévoilé mercredi dernier à Tokyo une brassière solaire qui permet de recharger la batterie d'un cellulaire ou d'un iPod.

Il fallait y penser! Est-ce qu'ils vont faire un slip pour homme à énergie solaire. Un genre de speedo qui te permet de recharger ton ipod à la plage. Qu'est-ce qui reste à l'être humain à inventer après ça ????

Les français et les vacances

Peut-être n’êtes-vous pas au courant chers lecteurs, mais les Français sont les champions toutes catégories des vacances. Nul sur cette planète ne possède plus de jours de vacances que nos cousins français. Je dois vous avouer que je suis jaloux de tout ce temps de congé que je ne peux que rêver. C’est même un peu frustrant de voire ses collègues partir fréquemment en vacances pour une semaine ou deux.

La grosse question que je me pose aujourd’hui en ce jour férié français dont je ne prends pas le temps de me demander en quel honneur c’est : Quand on a 5 semaines de vacances et 3 semaines en RTT, est-ce que l’on doit en être fière ou en avoir honte ? Si Lucien Bouchard se permet de critiquer la société québécoise en la qualifiant de paresseuse… qu’en est-il de la société française.

Le Beloeilois par delà les Alpes

La semaine dernière ainsi que le week-end dernier j’ai eu la chance de partir en Italie pour effectuer un petit boulot pas trop difficile dans la ville de Savigliano. J’ai donc pris l’avion mardi soir en direction de Turin. Les préparatifs de dernière minute m’ont un peu stressé, mais une fois mal assis dans l’avion tout ce stress est retomber pour faire place à un peu d’excitation. Après quelques destinations plutôt ennuyeuses telles que Valenciennes, Belfort et Reichshoffen, j’avais enfin quelque chose d’un peu spécial, l’Italie. Pour être fin près j’avais investi un gros 6,50 euros dans un dictionnaire français italien dans lequel on retrouve plein de phrases pratique pour les abruties mal pris, dans le cas présent moi.

J’ai commencé mon voyage en taxi. Il semblerait que le permis de conduire québécois n’est pas reconnu en Italie sans un papier d’internationalisations du permis (permis international) qui dans la plus grande logique n’est possible à faire seulement au Québec. N’ayant pas trop eu le temps de passer à Pointe-Claire j’ai du me rabattre sur le taxi. Bref, 130 euros de frais de taxi (aller seulement). En arrivant je me sentais un peu comme Sam dans le seigneur des anneaux quand il réalise qu’il est rendu à l’endroit le plus loin de chez lui qu’il n’est jamais aller.

La chance s’est pointé le bout du nez cette semaine-là, car il est advenu que deux collègues IDCAD fussent sur le site d’Alstom de Savigliano, fraîchement arrivé depuis quelques semaines. Pour répondre à la question : « Alors Savigliano ça farte ? » la réponse est oui. Cette petite ville, très chaleureuse possède le ratio pizzeria/habitant le plus élevée que je n’ai jamais vue. La ville possède deux grandes places entourées de restaurants, commerces et bars qui s’animent le soir venu et les jours de week-end ensoleillé. Chose surprenante on a l’impression de connaître la moitié de la ville en 5 jours.

L’italien est probablement le langage le plus similaire au français, les mots ont les mêmes doubles sens. Par exemple, bordel c’est casino, que l’on parle de l’établissement aux services humains multiple ou que l’on parle plutôt du désordre extrême. C’est aussi pratique de savoir qu’il ne faut pas utiliser le mot casino lorsque l’on recherche un endroit avec des machines à vidéo poker. Le fait que l’on arrive à comprendre certains mots sans connaître l’italien ne permet pas vraiment de parler italien. Quelle victoire lorsque à la suite de la phrase : « posso avere la ritcevuta per favore ? » on vous donne un reçu en se disant, ah ben tabarnak ça marché.

Par contre, Turin est une ville décevante. Malgré que certains vanteront les musées et les cathédrales, la ville manque d’intérêt. La ville est particulièrement industrielle et de mauvais goût. Les bâtiments sont laids, rouillés ou sans intérêt. La balade en voiture dans Turin nous a donné l’impression d’avoir perdu notre temps et de ne pas avoir vu grand-chose.

Petit conseil pour la visite du nord de l’Italie. Ne restez pas dans les grandes villes et prenez le temps d’aller visiter les petits villages. Les gens ne parlent pas anglais, ni français, mais il y a plein de choses à découvrir. Près de Savigliano il faut faire une visite à Cuneo et Saluzzo

Petit boni pour le voyage de retour, le ciel étaient clair et j’ai pu voir les Alpes depuis le hublot de l’avion.

Next stop Savigliano

Dans le cadre du projet « COMET Europe Tour » je prendrai l’avion en direction de Savigliano (1 heure de voiture de Turin) en Italie dans le but ultime de faire une petite intervention de 3 jours. J’en ai profité pour tenter de me réserver un week-end à mes frais, on verra bien.

Savigliano est une petite ville d’environ 20 000 habitants ce qui est similaire à la petite ville capitale de la vallée du Richelieu, Beloeil. Très peu d’information sur cette ville, je me ferai donc un devoir de l’explorer et de vous commenter le tout. De plus, je prévois passer le week-end à Turin question de découvrir un peu cette ville olympique. Est-ce que les plugs de courant sont les même qu’en France ? Je vais aller me chercher un livre "l'italien pour le nuls".

Je vous donnerai des nouvelles

24 heures de perdu!

Cette pseudo semaine de vacances au Québec ne m’a pas permis de guérir mon overdose de voyagement. Je me suis levé à 4h30 du matin au son pas trop agréable de mon téléphone cellulaire qui me sert de réveil. Le champ d’un coq trop motivé et une fanfare à la con est suffisant pour me tirer du lit dans le but de fermer cette musique de merde au plus sacrant. Après un petit déjeuné des plus standards, je finis de remplir ma valise et je me suis dirigé vers l’aéroport. Comme il n’y a pas d’autobus encore j’ai marché jusqu’au métro. Rendu à la gare du Nord je prends un billet de RER et j’arrive à l’aéroport.

Premier voyage, Paris-Londre. C’est pas mal long il y a un bouchon sur la piste. Le pilote nous dit qu’il voit 10 avions devant nous… pas de panique Londres devrait normalement exister encore à l’arrivé. Une fois à Londres l’avion tourne en rond. Le pilote nous dit que l’on va atterrir dans 20 minutes il y a une longue ligne d’attente pour la piste d’atterrissage.

Deuxième voyage, Londre-Montréal. C’est pas mal long il y a encore un bouchon sur la piste. Le pilote nous rappelle que notre ceinture doit être bouclée et qu’il y a 10 avions devant nous. Ce même pilote nous informe qu’il y aurait supposément de la neige à Montréal, mais que les souffleuses (Traduction : Déneigeuses) font leur gros possible et on verra rendu sur place. Il y a beaucoup de turbulence, cela semble un peu perturber l’Indien à ma gauche. Rendu à Montréal, le pilote nous informe qu’il ne peut pas atterrir, car il y a trop de vent et trop de neige, mais qu’il reste encore une grosse heure de carburant pour tourner en rond en attendant que ça ce calme. Ça ne se calme pas pis les gens sont malades à cause des turbulences. Finalement, on ne peut pas se poser, on s’en va à Détroit !!!

Troisième voyage, Montréal-Détroit. Mon Indien de tout à l’heure semble nerveux à l’idée d’aller aux États-Unis. Un gros gars pas beau passe devant moi, je commence à m’imaginer dans la série Lost et le gros c’est un peu comme Eurly. J’y repense et finalement ce serait préférable de ne pas s’écraser sur une île déserte entre Montréal et Détroit. On arrive à Detroit. Je suis alors pas mal surpris du fait que l’on n’a pas perdu ma valise. Malgré une organisation des plus improvisée, on se retrouve dans un bus en direction d’un hôtel, car on repartira seulement demain. Comme on arrive à l’hôtel, la sonnerie de mon cellulaire fait le bruit du coq et de la fanfare… ostie ça fait 24 heures que je suis debout… c’est alors que je me dis que l’on aurait pu faire la série la plus nulle de 24 jamais parue.

Quatrième voyage, Détroit-Montréal. Je me demande si je devrais me ramener un souvenir de Detroit. En voyant un cave arriver avec des casquettes de Détroit pour ses amis et prendre une photo, je réalise que sa photo lui a sûrement coûté 60$ US. Le vol se fait sans histoire, l’Indien est heureux d’arriver à Montréal pis moi aussi.

Finalement, je suis arrivé seulement 24 heures plus tard que prévu.

Point positif : J’ai eu mon VISA !!!

Overdose de voyagement

Bonjour mes amis. Nouveau scoop, je rentre à Montréal ce week-end. Je dois aller chercher mon visa à l’ambassade de France à Montréal. On m’avait proposé un retour jeudi prochain avec une escale au Maroc, d’aller chercher mon visa le vendredi et de finalement retourner en France le samedi avec toujours une escale au Maroc. Ce qui ne totalisait pas loin de 25 heures de transport. Pas tellement intéressant. Je suis en train de me remettre de quelques semaines de fous où je suis intervenu à plusieurs endroits, dont St-Ouen, Belfort, Reichshoffen et Vélizy avec plusieurs heures de voyagements sur chaque mission.

Finalement après négociation avec idCAD que je crois bien avoir perdu, je rentre ce samedi sur les ailes de British Airways avec une escale à Londres ce qui diminue de beaucoup le temps perdu en escale. Je passerai donc la semaine prochaine à Montréal et je retournerai sur le vieux continent le samedi suivant tout en passant encore une fois par Londres. Je devrais arrivée à 17h55 si la tempête de neige annoncée par les hautes instances de météo media ne ruine pas mon retour. S’il y a des gens qui n’ont rien de particulier à faire je me cherche un lift :)

Bon j’ai beaucoup de boulot à finir avant vendredi alors on se verra bientôt.

JP Sport version 2.0

Bonjour fans de JP Sport. En effet, cela fait longtemps que je n’avais pas pris le temps de tourner un épisode. Dans cet épisode on traitera de plein de choses, le dernier match des Shocks, la coupe de France de hockey sur glace et de l’échange de Cristobal Huet. Pour cette fois je vous propose quelques variations au concept. J’ai investi quelques Euros dans un logiciel de montage question de pouvoir m’amuser un peu plus. Voici l’épisode le plus long jamais présenté de JP Sport.

Appart à louer dans un coin tranquille

Je prenais une pause qui implique du café et un petit tour de l’actualité québécoise lorsque je suis tombé sur un fait divers avec une photo qui m’a bien fait rire. Le propriétaire de ce logement vient de bénéficier d’une publicité inattendue. Si vous cherchez un appartement dans un petit coin tranquille de Montréal, appelez au numéro.

Amateur de sport bonsoir !

Quand je suis sorti de mon logement à Boulogne ce matin j’ai senti une petite odeur de séries minatoire comme dit Jacques Demers. En début de saison, les experts des sous-médias (voir www.spornographe.com) nous prédisaient une très mauvaise saison pour le trois couleurs. Bien malin étaient ceux qui aurait prédit que canadien serait aussi hauts dans la section classement. J’en profite pour vous rappeler que j’avais prédit que Canadien devrait aller chercher la 3e place dans l’Est au plus pire et cela dès le mois d’août. Il faut croire que je suis plus proche que certains experts des sous-médias.

Canadien va bien à une sacoche près. J’espère que l’ami Robert ne fera pas de transaction majeure d’ici la date limite des transactions. Certains croient que l’on peut échanger deux ou trois mauvais joueurs pour un bon joueur, ils ont tort. On n’attire pas les mouches avec seulement Michel Ryder comme on dit. La meilleure transaction peut être celle que l’on ne fait pas.

Voilà mes prédictions pour la fin de saison. Canadien ne transigera pas car le Atlanta ne voudra pas recevoir Michel « But rebut » Ryder et des choix au repêchage en retour de Marian Hossa. Canadien fera les séries et surprendra en allant chercher la Stanley.

Côté de Toronto il y aura une grosse vente de feu. Le marché aux puces est ouvert à Toronto !

Il ne fait pas vraiment beau dans le Métro

Vous vous souvenez sûrement d’avoir déjà vu le petit film qui vante les mérites de prendre le métro et son petit frère l’autobus. Au cas le revoilà.



Dans la jungle parisienne, il ne fait pas beau dans le métro et il n’y a pas vraiment d’espace pour interpréter des chorégraphies de danse. Le Métro de Paris dont je profite pleinement depuis le début de ma mission à St-Ouen, car je dois traverser toute la ville me fait réaliser jusqu'à quel point c’est désagréable. Les gens se poussent pour trouver les derniers restants d’espace vital qui reste pour entrer dans le métro. C’est tellement serré qu’il faut rentrer le ventre pour prendre moins d’espace. Chaque fois que les portes s’ouvrent c’est la bousculade entre les gens qui vous piétinent pour sortir et ceux qui vous repiétinent pour entrer. Souvent les portes ne ferment plus, car il y a des gens dont leurs manteaux et sac restent pris dans les portes. Du coup, les trajets de Métro de 15 minutes se transforment en trajet de 45 minutes. Le soir c’est encore pire, car il faut endurer l’odeur pestilentielle de sueurs accumulées par tous ces gens pendant la journée, tout cela sans parler de l’étrange odeur d’urine permanente à certaines stations. C’est pour dire qu’il ne fait vraiment pas beau dans le métro. Après cela, on se demande pourquoi tant de gens ne veulent pas prendre le transport en commun et investissent dans une automobile.

Ici on voit à quoi ça ressemble en cas de problème technique ou de grève

IDCAD c’est sérieux !!!!

Un collègue m’a fait remarquer que la vidéo du party de Noël d’idCAD est disponible sur youtube. On y retrouve des moments de pur déconnage comme des courses de tracteur à gazon à Seattle. C’est un peu la preuve que ce n’est pas nécessairement important d’être mentalement stable pour être consultant. Si vous avez 10 minutes à tuer, vous pouvez toujours visionner cette œuvre cinématographique.



Il y a aussi la vidéo de 2006 disponible.

La crémaillère est pendue

Vendredi soir dernier j’ai invité mes collègues de bureaux à venir faire un tour dans mon appart afin de pendre la crémaillère. C’est en nombre approchant la dizaine que les gens ont avec conviction remplie mon salon et décimé mes réserves de saucissons sec. Les grands du monde UGS étaient présent, David le grand maître du Teamcenter et son padawan et membre des shocks d’Élancourt Alex, Audrey la légendaire copine d’Alex, Michel que l’on surnomme « Golden Mike » pour des raisons évidentes, Sylvianne alias Christianne et son copain Fabien et finalement JF connu sous le qualificatif de l’autre canadien (j’imagine avoir un qualificatif similaire).

J’ai initié mes convives à la culture québécoise en leur faisant écouter quelques groupes tels les cow-boys fringants, les trois accords, pépé et sa guitare et pas mal d’autres. J’avais organisé un genre de dégustation, je leur ai fait goûter un cidre de glace et une boisson alcoolique au sirop d’érable. L’alcool québécois a eu plus de succès que la musique, il faudra que je pense à remercier Marta pour cette sélection d’alcool.

Finalement coup de théâtre, les amis du bureau se sont cotisés afin de m’offrir une machine à café qui fait de l’expresso dans le temps que ça prend pour dire expresso trois fois. Ce n’est probablement pas une solution à ma dépendance à la caféine, mais ça fait vraiment plaisir. C’est vrrrrrrraiment fort comme machine tu peux faire deux cafés en même temps, imaginez le temps que l’on peut sauver avec ste machine!

Côté boulot c’est moyennement excitant pour les prochaines deux semaines, car je suis assigné au site d’Alstom de St-Ouen dans un cartier nord de Paris qui possède la réputation d’être pas tellement beau. Il faut dire que si je n’avais pas emménagé à Boulogne je devrais me taper 4 heures de transport par jour aux lieux de 2.

Côté retour au pays c’est toujours en « stand-by » j’attends plus que jamais ma convocation pour mon visa qui tarde à se rendre dans la capitale de la vallée du Richelieu (Beloeil). Donc, je devrais passer au pays d’ici un mois. Sur cela je vous souhaite une bonne continuation.

Le petit gars de Beloeil pose ses valises

Cela faisait longtemps que j’attendais une bonne occasion pour quitter Clamart pour quelque chose de mieux. Il n’était pas évidant de trouver mieux, les loyers sont rares et les meubler encore plus. Un de mes collègues déménageait de son appartement de Boulogne-Billancourt dans le but de se rapprocher de Le Valois. Je suis allé visiter et j’ai trouvé l’appart très bien. J’ai donc déménagé mon bazar dimanche soir dernier. J’espère rester en France au moins jusqu'à la fin de l’été et j’espère que certains de mes amis en profiteront pour venir me visiter et profiter du fait que de squatter chez moi ça ne coûte rien. Pour ceux qui se le demandent Boulogne-Billancourt c’est dans le réseau de Métros parisiens et qu’en quelques minutes de marche on peut se rendre à Paris. Voici quelques photos du dedans.








C’est un deux pièces, en langage de logement français c’est deux pièces plus une cuisine et une salle de bain. En résumé un deux pièces français c’est un trois et demi canadien. C’est un peu comme le taux change quand on y pense.

Je suis bien content d’avoir un vrai chez moi, il va falloir que je recommence à faire mon ménage, mais je pense que ça vaut la peine. Il y a aussi le fait que ça va me coûter 500 euros de moins par mois, ça vaut la peine de faire le ménage. Il va falloir pendre la crémaillère bientôt.

Belfort a éviter pour les vacances

C’était la première semaine d’une série de deux de mon intervention à Belfort. Aller à Belfort depuis Paris représente environ 5 heures de train. Une fois arrivée, sur place j’ai remarqué, que l’endroit est plutôt moyen. J’ai eu le droit à un accueil plutôt froid chez Alstom. On m’a assigné un Polonais qui avait pour objectif de me suivre partout et d’amasser le maximum de connaissance sur le travail que j’allais faire. Comme mon polonais n’est pas très bon, j’en ai profité pour pratiquer mon anglais. Par chance, il ne me suivait pas jusqu’à la toilette.

Point positif, le manque d’hôtel libre m’a permis de me retrouver avec une qualité d’hôtel plus élevé qu’à l’habitude. Quand je suis entré dans la chambre j’ai tout de suite remarqué le mini-bar. Dans un élan de stupidité, je l’ouvris et saisis une boisson alcoolisée. C’est alors que je me suis dis : « Écoute le gros ça doit coûter cher ces trucs la ». Après avoir fouillé quelques minutes j’ai découvert un papier sur lequel on pouvait lire les prix des articles. Quand une bière en canette coûte 6 euros, cela peut vider un portefeuille plutôt rapidement. J’ai donc décidé d’investir un 6 euros et j’ai profité de la grande salle de bain pour prendre un bain mousse.

Je suis allé faire le tour de la vieille ville à pied afin de trouver quelques trucs à voir et quelques bons restos à essayer. Le meilleur resto est malheureusement le resto de l’hôtel. Je suis allé faire le tour du rempart où il y a une sculpture de lion. Une fois que l’on a vu le lion et le petit tunnel, on a fait le tour. Petit conseil ne planifier pas d’arrêt à Belfort pour vos prochaines vacances.

Ouch !

Les Ulis sont premiers au classement pour une raison, les shocks ont compris pourquoi. Les shocks n'avaient apparamment pas pris la résolution de mieux jouer défensivement. J'ai inscrit mon 5e but de la saison en autant de matchs.

Voici finalement le 6e épisode de JP Sport.

Direction Belfort

Bonjour chers lecteurs, je sais que je ne suis pas très assidu en terme de production d’article de blog ces derniers jours, mais je vous assure que je reprends à partir de dorénavant le chemin de mes bonnes vieilles habitudes d’écrivain à mes heures.

Pour ceux que ça intéresse, j’ai passé un agréable voyage de retour. Pour ne pas se faire refiler une autre grosse facture d’excès bagages, idCAD m’a donné un billet de retour me permettant de franchir le guichet avec 40 kg de valise. Du même coup, mon billet de classe normal est devenu un billet formule club, ce qui équivaut à la première classe. La première classe sur Air Transat ce n’est sûrement pas ce qu’il y a de mieux, mais quand même c’est beaucoup mieux que ce que j’ai pris l’habitude de me faire offrir. Première surprise, il y a de la place pour les jambes. Deuxième surprise, il n’y a pas de limite de verres de mousseux et de vins durant le vol. Je peux vous assurer que j’ai profité au maximum de l’alcool gratuit. Une fois mon gosier bien rassasié, j’ai sans problème réussi à dormir l’équivalent d’une heure et demie.

J’ai réintégré les bureaux de (prendre un accent allemand) Siesmens PLM software la journée même question de distribuer quelques canisses de sirops d’érable et faire une petite dégustation de bière d’épinette. Grosse surprise 5 français sur 6 aime la bière d’épinette. On ne peut pas en dire autant avec la bière de bouleau. J’ai aussi ramené une nouvelle mascotte du nom de « Moose-Jaw Saskatchewan » qui a comme tâche d’être douanier pour le territoire québécois de 7 m2 que moi et mon collègue Jean-François tentons avec conviction de préserver.

Cette semaine je suis en plein préparatif pour ma prochaine mission. Je dois aller intervenir chez Alstom mais cette fois à Belfort. Je suis allé sur wikipedia afin de pouvoir vous faire un petit résumé instructif sur cette région. Premièrement, Belfort peut se vanter d’être la 95e plus grande ville de France. Le top 100 ce n’est pas rien. On y compte un peu plus de 50 000 Français. Avec 1 050 millimètres de précipitations par an, la ville est une des plus arrosées du pays en compagnie de Brest. De plus, Belfort compte en moyenne 43 jours de brouillard par an. Côté tourisme je risque de ne pas trop profiter, car mon planning est plutôt serré. Il semble qu’il y ait plusieurs monuments et fortifications intéressantes à visiter, mais je ne risque pas de pouvoir y aller durant le jour.

Pour le fans de JP Sport, je suis en train de préparer l’épisode 6 ou Ken vous parlera du dernier match des Shocks contre la meilleure équipe de la ligue.

Comme on dit dans le jargon

Premièrement, bonne année tout le monde.

Mes vacances sont terminées, je me dois de me remettre tranquillement au boulot et tranquillement pas vite ajouter du contenu sur mon blog. J’ai voyagé jusqu'à Montréal avec un des acteurs principaux de la série Kaamelott, Lionel Astier (Léo Dagan). Je suis passé près de lui en sortant de l’avion et j’en ai profité pour lui dire que j’aime beaucoup la série, ce qui lui a semblé étrange de la part de Québécois à l’accent de souche comme on dit dans le jargon.

Lorsque je me suis levé après avoir finalement dormis il neigeait pas mal, voire même pas mal beaucoup comme on dit dans le jargon. Il en ai tomber 45 centimètres selon l’unité météo de météomédia ce qui équivaut à une bonne bordé comme on dit (toujours dans le jargon). Je suis sorti pelleter plusieurs fois, la charrue (voir déneigeuse) est passée de nombreuses fois, ça faisait chier en calice (on dit ça aussi dans le jargon). J’ai reçu une invitation pour aller manger de la poutine à ville Saint-Laurent et j’ai donc bravé la tempête tout en risquant ma vie et bien plus encore afin de me délecter du mélange bénit.

Grosse nouvelle pour les nombreux fans des shocks d’Élancourt. Les hommes de Gérard on acquit une première victoire cette saison par la marque de 10 à 4 contre le RHC (Roller-Hockey Club) Montigny. Certaines langues salles diront que le RHC n’avait pas de terrain pour s’entraîner et que leur gardien n’est pas au niveau. Ken McGuire les a pendus à l’aube comme le veut son habitude. Félicitation aux shocks pour cette victoire pleinement méritée payée à la sueur qu’ils ont suée. De plus, ils ont réussi l’exploit sans leur arme secrète, le gros québécois.

Je vous laisse il faut que je mette la main sur de la bière d’épinette.